Groupama paye le prix fort sur les sinistres climatiques

L’assureur mutualiste assume sa présence dans les zones à risque. Résultat : il pèse 15 % des sinistres climatiques pour une part de marché global dans l’assurance non-vie de 10% en France. Soit une charge nette de réassurance de près d’un milliard. Malgré tout, le groupe affiche un résultat opérationnel en hausse, dopé par l’international.

Groupama, un engagement fort face aux défis climatiques

En tant que référence majeure de l’assurance en France, Groupama se distingue par sa capacité à assumer sa présence dans les zones à risque. Cette audace a malheureusement un coût, puisque la compagnie est responsable de 15% des sinistres climatiques sur le territoire national. Il s’agit d’un chiffre impressionnant, surtout si l’on considère que sa part de marché global dans l’assurance non-vie n’est que de 10%.

Une charge nette de réassurance colossale

Cette situation a conduit à une charge nette de réassurance de près d’un milliard pour l’assureur mutualiste. Un chiffre qui démontre à quel point le poids des sinistres climatiques peut être lourd pour une entreprise engagée dans les zones à risque.

Des résultats opérationnels toujours en hausse

Mais malgré ces défis, Groupama continue d’afficher des résultats opérationnels en hausse. Une performance rendue possible grâce à une stratégie d’internationalisation efficace qui permet à l’entreprise de diversifier ses sources de revenus et de répartir les risques.

    • Groupama, un acteur majeur dans les zones à risque

 

    • Une charge nette de réassurance avoisinant le milliard

 

    • Des résultats opérationnels boostés par l’international

En conclusion, malgré un contexte difficile et une part significative des sinistres climatiques à sa charge, Groupama démontre une résilience et une capacité d’adaptation remarquables. Les défis sont nombreux, mais l’assureur mutualiste continue de prouver que sa stratégie est payante.

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