La Fédération nationale de la mutualité française explique les raisons de l’avis défavorable au PLFSS 2024 qu’elle a rendu à l’occasion du conseil de la Caisse nationale de l’Assurance maladie (Cnam).
PLFSS 2024 : un projet qui « manque d’ambition », selon la Mutualité française
La Mutualité française, représentée par la Fédération nationale de la mutualité française, a récemment exprimé son avis défavorable sur le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale (PLFSS) pour l’année 2024. Dans son communiqué, la Mutualité française explique les raisons qui l’ont poussée à émettre ce jugement.
La principale critique formulée par la Mutualité française est que le PLFSS 2024 manque cruellement d’ambition. Selon elle, ce projet ne propose pas de mesures concrètes et suffisamment ambitieuses pour faire face aux enjeux actuels du système de santé français.
La Mutualité française souligne notamment le manque d’investissement dans la prévention. En effet, selon elle, il est primordial de mettre en place des mesures efficaces pour prévenir les maladies et favoriser le bien-être de la population. Or, le PLFSS 2024 ne prévoit pas de véritables avancées dans ce domaine.
De plus, la Mutualité française déplore le faible soutien accordé aux établissements de santé. Selon elle, il est nécessaire d’investir davantage dans les infrastructures hospitalières afin d’améliorer la qualité des soins et de garantir l’accès aux traitements pour tous les citoyens.
Enfin, la Mutualité française regrette que le PLFSS 2024 ne propose pas de mesures concrètes pour lutter contre les inégalités en matière de santé. Elle souligne que l’accès aux soins doit être équitable pour tous, quel que soit le statut social ou le lieu de résidence.
- Manque d’ambition dans les mesures proposées
- Insuffisance des investissements dans la prévention
- Manque de soutien aux établissements de santé
- Absence de mesures contre les inégalités en matière de santé
En conclusion, la Mutualité française considère que le PLFSS 2024 ne répond pas aux attentes des citoyens et des professionnels de la santé. Elle appelle donc à une révision du projet afin d’y intégrer des mesures ambitieuses, notamment dans le domaine de la prévention, de l’accès aux soins et de la lutte contre les inégalités en matière de santé.
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