Assurance: Payer sa prime maladie en fonction de son revenu, une élue relance l’idée

Une conseillère nationale écologiste de Zoug s’attaque au système des assurances maladie en Suisse. Qu’un milliardaire débourse autant qu’une vendeuse est «absurde», selon Manuela Weichelt.

Assurance: Payer sa prime maladie en fonction de son revenu, une élue relance l’idée

Une conseillère nationale écologiste de Zoug s’attaque au système des assurances maladie en Suisse. Qu’un milliardaire débourse autant qu’une vendeuse est «absurde», selon Manuela Weichelt.

Une question d’équité

Dans un pays où la solidarité est une valeur fondamentale, il est essentiel d’examiner de près le système des assurances maladie. Selon Manuela Weichelt, il est injuste qu’une personne gagnant des millions doive payer la même prime qu’une personne gagnant un salaire minimum. Une révision basée sur le revenu permettrait de garantir une plus grande équité dans le paiement des primes.

Une proposition audacieuse

La conseillère nationale écologiste de Zoug propose donc une réforme audacieuse : adapter les primes maladie en fonction du revenu. Cette idée pourrait permettre à chacun de contribuer en fonction de ses moyens, tout en assurant un accès égal aux soins de santé pour tous. Une telle mesure encouragerait également une plus grande solidarité entre les citoyens suisses.

Avantages et défis

Cette proposition soulève toutefois quelques défis. Il faudrait mettre en place un système de calcul précis pour déterminer les primes en fonction du revenu. De plus, une réforme de cette ampleur nécessiterait une volonté politique et une concertation entre les différents acteurs du secteur de la santé.

Une réflexion nécessaire

Il est important de réfléchir à des solutions qui permettent de rendre le système des assurances maladie plus équitable. En adaptant les primes en fonction du revenu, nous pourrions garantir un meilleur accès aux soins pour tous les citoyens. Cette proposition de Manuela Weichelt est donc à prendre en compte et mérite d’être débattue.

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